Influence de Facebook sur ma vie

Facebook influence nos choix quotidiens, modifie notre comportement et manipule nos jugements.

Ce sont là les accusations portées par de nombreuses parties.

Les logiciels des réseaux sociaux et les hommes qui les gèrent nous offrent les nouvelles à prendre en considération et, sans que nous nous en rendions compte, ils nous suggèrent quoi en penser : Facebook, par exemple, choisit quels sont les sujets qui doivent être vus par les utilisateurs et lesquels doivent être éliminés ou laissés libres de se perdre dans l’oubli.

La plus puissante plateforme de partage d’informations au monde, Facebook, est en effet capable d’influencer nos choix en sélectionnant ce qui peut ou ne peut pas être vu.

Avec de graves atteintes au pluralisme et à l’égalité.

En fait, des recherches récentes ont montré que, dans le choix des thèmes et des tendances, un préjugé anticonservateur prévaut. La société de Mark Zuckerberg a vivement contesté cette accusation, mais il semble que l’annulation des nouvelles et des opinions conservatrices soit beaucoup plus importante que ce qui se passe dans le domaine opposé. Cela n’est pas dû à une erreur dans le réglage des algorithmes mais au travail des rédacteurs des News.

Pour filtrer les nouvelles, il faut en fait des êtres humains avec leurs croyances, leurs idées préconçues et leurs convictions. Tout cela ne peut qu’affecter leur traitement des données. Penser que le processus de sélection et de classement des informations selon une priorité non spécifiée est exempt de préjugés idéologiques est une pure illusion. L’accusation lancée par plusieurs partis contre Facebook et d’autres réseaux sociaux est donc centrée sur l’absence de toute culture de la responsabilité éditoriale dans le choix des tendances de l’actualité : il ne faut pas privilégier la simple quantité de nouvelles, mais plutôt inviter les utilisateurs à expérimenter, à s’améliorer, à se développer, à poser des questions et à s’interroger.

Les accusations de manipulation d’idées ne sont certainement pas nouvelles. La psychologie comportementale a étudié les tactiques adoptées par les gouvernements et les autorités du monde entier pour influencer les choix des citoyens, tandis que l’économie comportementale a structuré la “théorie du coup de pouce” qui guide nos décisions. Aujourd’hui, certains sociologues rapportent les mêmes doctrines dans le domaine des réseaux sociaux, affirmant même que nous avons perdu la capacité de sélectionner.

Le choix en voyance Suisse est en fait une compétence, une habitude, un remaniement du cerveau, une technique qui doit être pratiquée en permanence pour être affinée.

Pour marque-pages : Permaliens.

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