Maigrir en faisant l’amour ?

Faire l’amour pour perdre du poids : c’est la dernière découverte de la science. L’ocytocine, l’hormone de l’amour libérée après l’orgasme, vous aide à perdre du poids.

Avoir des relations sexuelles pour perdre du poids en stimulant l’hormone de l’amour. Cela peut sembler être un rêve, mais c’est la réalité. Oubliez les tristes régimes à base de salade et la fatigue sur le tapis roulant, des rapports sexuels réguliers peuvent vous aider à perdre du poids. Une recherche récente de l’université de York indique qu’en plus de brûler environ 100 calories par heure, les rapports sexuels déclenchent la libération d’une hormone qui peut freiner la suralimentation. Cette hormone est appelée ocytocine et est surnommée l’hormone de l’amour, de l’attachement ou des câlins.

L’ocytocine est libérée après l’orgasme afin d’instiller la confiance, l’amour et l’affection aux partenaires, sentiments qui lient le couple. Les chercheurs ont découvert que la prédisposition à trop manger est inscrite dans nos gènes et est liée à la façon dont le gène de l’ocytocine est exprimé et à certains traits psychologiques associés à l’exagération. L’étude a suivi les variations du gène du récepteur de l’ocytocine (OXTR) et a montré que les personnes qui ne produisent pas génétiquement l’hormone de l’amour sont plus susceptibles de s’adonner au goût sucré.

Les augmentations de l’ocytocine, au contraire, ont tendance à diminuer l’appétit, surtout pour les glucides sucrés. Il est donc conseillé d’avoir des relations sexuelles pour perdre du poids. Les chercheurs ont également étudié comment l’hormone affecte la stimulation de l’appétit, les préférences alimentaires, l’apport alimentaire et les traits de personnalité associés aux sensations de récompense dans le cerveau. Pour ce faire, l’équipe a examiné un groupe de personnes âgées de 27 à 50 ans, dont certaines ont avoué avoir des problèmes diététiques et ne pas avoir perdu de poids, et a analysé leurs échantillons de sang en en extrayant l’ADN.

Grâce à ces tests, les chercheurs ont découvert un lien direct entre l’ocytocine et la frénésie alimentaire et ont trouvé sept sites dans l’ADN où les instructions chimiques pour produire l’OXTR varient d’un individu à l’autre, ce qu’on appelle le polymorphisme d’un seul nucléotide (SNP). Les résultats suggèrent que les gènes sont étroitement liés à certains traits qui régulent notre comportement. En conclusion, on peut dire à juste titre que, grâce à l’hormone d’amour libérée après l’orgasme, on peut faire l’amour pour perdre du poids.

Un article proposé par : https://destin.ch

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